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6 janvier 2007 6 06 /01 /janvier /2007 13:52
Reçu message de Françoise, la Mère Poule des Renards Chauves II :

Les Renards Chauves II vous souhaitent à tous une

 

 

excellente année 2007 !!!...

 

 

… qu’ils commencent d’ailleurs sur les chapeaux de roue :  ils récidivent et investissent cette fois le Cabaret du Théâtre Essaïon ( Angle Rue du Renard – si, si ! et Rue Pierre au Lard, dans le IVème arrondissement, juste à côté de Beaubourg ) pour deux soirées exceptionnelles, les 11 et 12 Janvier prochains.

Ils précèderont sur scène les talentueux Vendeurs d’Enclumes, Prix du Public des Chorus des Hauts de scène 2006.

 

Les Renards Chauves II sont toujours quatre, ont toujours de belles grattes et toujours leur fameux coup de patte …

Ils sont encore plus rock, ils ont vraiment gonflés à bloc …

Ils se réjouissent de montrer le bout de leur museau ! ( Et comme d'habitude, planquez vous poulettes !!! )

 

Si vous ne les connaissez pas encore, précipitez vous ( si vous les ratez, ils seront à nouveau à Paris au mois de mars, date et lieu disponible sous peu ).

 

Ils préparent également une galette à paraître au printemps… Avis à tous les fans !

 

Et quoi qu’il en soit, ils vous tiendront informé(e)s encore plus régulièrement de leur méfaits dans leur Amuse-letter.

 

Leur Mère Poule

Françoise

06 72 14 10 42

frauner1@tiscali.fr


    http://www.essaion.com/

 

 « Ça chante à l’ Essaïon » 

6 rue Pierre au Lard, 75004 Paris,  métros Hôtel de Ville ou Rambuteau

 reservations@essaion.com ou 01 42 78 46 42 

Restauration légère possible à partir de 19 h 30

www.theatreonline.com, Fnac.com et Billetreduc.com, Tatouvu.com
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1 janvier 2007 1 01 /01 /janvier /2007 23:19
A l'heure des voeux, de plus en plus présents sur Internet à l'approche des présidentielles, toute l'équipe de rédaction affirme sa totale solidarité avec les membres du Fonacon (Le Front d'Opposition à la Nouvelle Année). Si nous n'étions pas si tasons, il est probable que nous les aurions rejoints dans les rues de Nantes (mais peut-être que Petit-Jean, super-tason 2006,  nous a représentés...).

Un point d'actu sur la manifestation :

"01/01/2007

2006 manifestants selon les organisateurs…2007 selon la police

La nouvelle année est passée de justesse. La détermination nantaise a pesé de tout son poids, provoquant jusqu’à la dernière minute un mouvement de panique au niveau des plus hautes instances de la planète. Les médias régionaux et nationaux étaient tous là, eux aussi inquiets de savoir si la nouvelle année allait oser…elle l’a fait, mais en tremblant. Gare à 2008 !
Vous pouvez d’ores et déjà retrouver les sujets TV sur les sites M6 et France 3 (JT national et régional), et sans doute sur d’autres chaînes. Dès que nous pourrons –mais il faut nous laisser digérer le passage en 2007- nous diffuserons la revue de presse la plus complète possible (en fin de semaine...mais dès maintenant retrouvez les premiers articles et premières photos sur Fonapresse). Sachez d’ores et déjà que le combat prend une ampleur qui nous donne toutes les raisons d’espérer. Y’a déjà du Paris 2008 dans l’air… Ils n’ont pas eu les JO, ils auront le Fonacon !
Nous attendons également des nouvelles de nos correspondants étrangers, que nous ne manquerons pas de vous transmettre. Le combat ne fait que commencer : adhérons, votons Fonacon !"
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26 décembre 2006 2 26 /12 /décembre /2006 00:23
Scoop ! Le galopin ayant usurpé mon identité auprès des autorités umpéistes du département a été identifié : il s'agit, comme on le subodorait, du redoutable Mikl M...., qui est au Poitou ce que Big Gatal est au Limousin.
On le voit ici, à l'arrière-plan, juste à côté du réfrigérateur, surpris par notre reporter Gabriel, armé de son Fischer-Price flambant neuf, tout juste apporté par le Père Noël. Un appareil-photo numérique de grande classe, où l'on peut presque compter les pixels sur chaque cliché (encore quelques progrès à faire dans le cadrage d'accord, mais que voulez-vous, la photo a été prise dans des conditions de reportage difficiles).

Peut-être que dans quelques années, grâce à cet apprentissage précoce, mon garnement réalisera un  chef d'oeuvre cinématographique de la trempe de celui-ci...
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20 décembre 2006 3 20 /12 /décembre /2006 13:49
Attention ! Dernière chance ce soir pour le tason castelroussin d'écouter les textes botanicomiques d'Alexandre Vialatte, lus par le PPESE et ses petits camarades de Théatralacs, sous la houlette du grand Jean-Claude Moreau.
Rappelons que la partie musicale de cette lecture est assurée par Lulu et Verohanta, qui s'illustrent notamment sur des compositions présidentielles.
Bref, un grand moment de tasonnerie musicale et littéraire qui aura lieu à partir de 20 h (ou 20 h 30, damned, j'ai un doute tout à coup), à la chapelle des Rédemptoristes, près d'Equinoxe.

Il est prudent de réserver (mais je ne sais pas à quel numéro) : la dernière fois, à Tranzault, nous avons passé la barre des cinq spectateurs (de justesse).
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18 décembre 2006 1 18 /12 /décembre /2006 21:51
La race des plaisantins n'est pas éteinte. J'en veux encore pour preuve le courrier que nous avons reçu, ma douce et moi,  ce matin : une invitation à rejoindre les rangs de l'UMP avec formulaires et bulletins d'adhésion, suite à un entretien téléphonique avec moi-même. Je ne sais pas encore qui a usurpé mon patronyme ( nous avons malgré tout une petite idée sur l'identité du rascal), mais il aura au moins réussi à faire perdre deux timbres à la formation sarkozyste.

En ce jour d'anniversaire présidentiel (eh oui, le Président souffle les bougies aujourd'hui même), cela tient de la provocation. Il se trouve d'ailleurs  que par le plus grand des hasards, j'ai fait une halte cet après-midi à Tasonlande où j'ai croisé El Nano et Cécelle. Cécelle, autrement dit le paternel du Président,  qui fit une grande part de mon éducation politique.
Bouffeur de curés de stricte obédience, il professait également, dans son langage toujours délicatement fleuri, une cordiale détestation de ce qui à l'époque s'appelait  l'UDR.
 
J'ai peur maintenant que ce vilain canular ne donne des idées à d'autres chenapans et que nous nous retrouvions inondés par les bulletins d'adhésion. Mais après tout, il faut bien faire vivre la Poste et assurer le travail de nos Besancenots locaux.

Dernière remarque d'ordre purement linguistique : M. Pierre-Marie Lagarde écrit "Suite à l'entretien téléphonique que j'ai eu ce jour avec Monsieur Patrick B.. m'a prié de vous adresser des formulaires d'adhésion à l'UMP "(...).  Voilà une bien curieuse phrase-valise : on peut penser que le qui a été oublié entre Patrick B. et m'a prié, mais le courrier étant adressé au même Patrick B., celui-ci est donc informé qu'il reçoit des formulaires après un entretien téléphonique  avec un certain Patrick B. (dont on sait par ailleurs qu'il n'est pas le véritable Patrick B.). La schizophrénie guette le PPESE (dont on sait qu'il n'a bien entendu rien à voir avec ce fameux Patrick B.).
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17 décembre 2006 7 17 /12 /décembre /2006 22:57

Le barman raconte
     Je vais vous dire comment ça s'est passé. D'abord, il y a eu le grand échalas, échevelé, sacoche en cuir sous le bras, l'air perdu. Il a été s'asseoir à côté du vieux, celui qui nous bloque une table la moitié de la matinée pour remplir des grilles de chiffres, soi-disant c'est son beau-frère en stage chez les émirs qui lui expédie ça chaque nuit. Faut croire qu'on n'a vraiment rien d'intéressant à foutre  dans leur désert à la con. Et tout de suite, j'ai bien vu que c'était le bureau des pleurs. Le gars arrêtait pas de se plaindre en faisant de grands gestes. Je me suis déplacé pour prendre la commande, mais ce péteux  ne voulait pas consommer. Le vieux a repris un expresso, il avait dû sentir que ça commençait à me chauffer. La jérémiade a repris de plus belle. J'ai mis le juke-box en marche, avec un bon Johnny pour leur agacer un peu les oreilles. Résultat pas terrible : il dégoisait encore plus fort. J'ai mis Daho, ça  l'a pas calmé. Et puis voilà que se pointe dans la rue la grosse Gisèle, mon aubergine préférée. Elle fait une fixation sur les 4x4. Dès qu'elle en voit un  en infraction, elle dégaine le carnet à souches plus vite qu'un Ninja son nunchaku. Mais là, c'était même pas un 4x4, c'était la Xantia du vieux qu'il avait garé sur l'espace livraison du rade. C'était juste en face, du coup le vieux, quand il voit ça, se lève comme un brouillard d'automne sur la basse vallée de la Bouzanne, et pointe un doigt sur la gonzesse qui est en train de lui coller une belle prune. Son acolyte a pas l'air de compatir. C'est visible qu'il s'en fout et que ça venge pas ses emmerdes perso. Du coup, le vioque lui jette ses grilles à la figure avant de se précipiter vers la sortie. Trop tard, la grosse Gisèle a signé le papelard et le gars a beau vociférer, il est clair qu'il l'a dans le baba.  Il s'est ensuite taillé en vitesse et, comme il avait négligé de payer ses deux noirs, j'ai forcé l'autre à régler la note. Bon d'accord, de l'arrière-salle, j'ai fait sortir le chien, le Rex, pour lui filer un peu les chocottes. Et puis, oui, le Rex l'a mordu à la cuisse droite et à la fesse gauche. Non, je ne veux pas le nier, ce serait ridicule. Mais pourquoi aussi l'autre grand serin  l'a tapé avec sa sacoche ? Le Rex, ça l'a rendu méchant, faut se mettre à sa place. Un rottweiler, ça se respecte, non ? Mais pourquoi, vous m'écoutez plus, monsieur le juge ?
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14 décembre 2006 4 14 /12 /décembre /2006 21:19
Bon, je sais, j'ai déjà évoqué ici les fameuses répliques volfoniennes et linoventuresques, mais il n'y a pas de mal à reparler des bonnes choses (on ne s'en est pas privé  dans les récents commentaires  ) aussi donné-je  quelques liens pédagogiques en guise de préparation aux prochaines libations solsticiales :

- révision des dialogues de la scène fondamentale de la cuisine.

- analyse et visionnage de la bande-annonce de la Gaumont

- évaluation formative sur écran interactif

- étude des erreurs

- Synthèse finale


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12 décembre 2006 2 12 /12 /décembre /2006 23:02
Reçu ce courriel présidentiel que je porte donc à la connaissance du bon public tason :














"Salut bande de tasons.

J'ai une bonne et une mauvaise nouvelle :
   * La bonne, c'est que le banquet des tasons du 24 février aura lieu
     chez Dedette
   * La mauvaise, c'est que c'est la dernière fois

Je sais pas encore comment, mais c'est sûr qu'il faudra marquer le coup (si vous avez des idées...)

J'aimerai contacter ce suprême foireux de LUPUS, si vous connaissez un moyen d'y parvenir, merci de me le communiquer.

Sur ce, Saland et tasonnerie.
Le Didal. "

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11 décembre 2006 1 11 /12 /décembre /2006 22:22

C'est curieux :  Kiki, que j'ai très bien connu à l'âge de quinze ans, pesait plutôt 26 kg que 126 kg, mais peut-être que mon souvenir n'est pas très fidèle... En tout cas, pour en savoir plus sur Kiki, cliquer ici.
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10 décembre 2006 7 10 /12 /décembre /2006 23:57




Des difficultés du stationnement en ville

    C'était au Saint-Firmin, à la table que j'occupe  presque chaque matin depuis que je suis à la retraite et où je me consacre devant un petit noir à résoudre les grilles diaboliques de sudoku que m'envoie dans la nuit par courrier électronique mon beau-frère expatrié à Riad, que je l'ai écouté me narrer sa dernière conférence  dans la salle des fêtes d'un village plus connu pour ses raouts à la gloire des cucurbitacées que pour son appétence pour la haute culture cinématographique, aussi ne fus-je pas étonné plus que ça d'apprendre que l'assistance déjà maigrelette avait carrément fondu à la pause et que finalement les seuls organisateurs, membres éminents de l'Association des Familles Rurales qui avaient  bien dû poser cinq affiches dans la commune pour annoncer l'événement de la venue d'une sommité de la critique, avaient assisté à la fin de son intervention,  dont il était aisé de deviner à son ton chargé d'ironie que lui-même était fort conscient que son objet était extraordinairement décalé par rapport aux attentes d'un tel public auquel il reconnaissait par ailleurs une  parfaite courtoisie puisqu'il fut correctement applaudi à l'issue de sa solitaire péroraison, ce qui avait eu pour effet collatéral de sortir de sa torpeur l'homme en fauteuil roulant que l'on avait hissé à grand peine - la salle des fêtes construite dans l'enthousiasme des années 60 n'étant absolument  pas  aux normes en ce qui concerne l'accueil des handicapés - jusqu'au bord de l'estrade en bois affreusement grinçante où le moindre remuement de sa chaise  couvrait sa voix pauvrement amplifiée par la même sono Bouyer qui servait pour l'annonce des résultats de la tombola, et je lui aurais volontiers exprimé ma compassion amusée si, au même moment, je n'avais pas été requis par le spectacle somme toute peu lénifiant d'une contractuelle de forte stature appliquant sur le pare-brise de mon automobile garé pour une fois juste devant l'estaminet un des ces rectangles verts qui nous rappellent la fragilité intrinsèque de notre être-au-monde, et donc, oublieux des difficultés de mon ami pendant le fugitif instant de cette vision, m'attirait aussitôt cette remarque désolée : "Tu vois, toi aussi tu ne m'écoutes pas."
     

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